Aucun résultat
La page demandée est introuvable. Essayez d'affiner votre recherche ou utilisez le panneau de navigation ci-dessus pour localiser l'article.
« La réunion a eu lieu il y a une semaine, tu aurais pu rédiger ce compte-rendu plus rapidement. » Comment réagissez-vous face au collègue qui vous fait cette remarque désagréable ? Ressentez-vous de la colère et le besoin immédiat de rejeter la faute sur votre interlocuteur ? Essayez plutôt ceci. Respirez un grand coup, exprimez votre tristesse suite à cette remarque et votre besoin d’être soutenu. Enfin, demandez un peu de considération face à la charge de travail que vous avez en ce moment. Voici un bel exemple de schéma de communication non violente (CNV), faisant appel aux 4 composantes OSBD. Votre collègue y réfléchira sûrement à deux fois avant de vous attaquer verbalement la prochaine fois. En plus d’apaiser vos relations, la communication bienveillante en entreprise vous permet d’être plus à l’écoute de vos propres sentiments et besoins et donc en chemin vers l’épanouissement professionnel ! Lisez la suite et découvrez comment tirer tous les bénéfices de la communication non violente au travail.
C’est dans les années 60 que Marshall Rosenberg élabore la théorie de la Communication Non Violente (CNV). Inspirée des préceptes de Gandhi, la CNV a pour but de favoriser des échanges authentiques fondés sur l’écoute empathique de l’autre. Elle permet à celui qui la pratique de mieux comprendre et mieux exprimer ses propres sentiments et ses besoins, mais également ceux des autres.
En effet, derrière toute violence verbale se cache en réalité des besoins insatisfaits. Nous avons tendance à les exprimer sous forme de jugements moralisateurs : « tu es mal organisé ». Ce genre d’accusations érige un mur entre nous et notre interlocuteur. Ce dernier tentera de se défendre en nous attaquant à son tour, faisant monter la colère et empêchant l’expression des émotions et besoins. La CNV donne ainsi des clés pour apaiser les échanges dans le but d’avoir des conversations transparentes, sans animosité et en toute compréhension.
Pour une communication non défensive réussie, chaque échange doit comporter 4 composantes essentielles, appelées OSBD : Observation, Sentiment, Besoin, Demande.
La première étape consiste à observer une situation sans évaluation ni jugement. Par exemple, si vous voyez votre collègue en pleine préparation d’un support de présentation 15 minutes avant le début de la réunion, vous pouvez dire : « Il prépare son intervention 15 minutes avant l’heure prévue. » Au contraire, une évaluation de la situation serait : « Il prépare sa présentation au dernier moment. »
La seconde étape consiste à identifier et exprimer le sentiment que vous évoque la situation précédemment observée : de la tristesse, de l’inquiétude, de la peur, etc. Attention à ne pas confondre pensée et sentiment : « J’ai le sentiment d’être incompétent sur ce sujet » est une pensée. « Je suis inquiet de ne pas savoir répondre aux éventuelles questions » est un sentiment. Votre interlocuteur s’identifiera beaucoup plus facilement à vos sentiments qu’à vos pensées, d’où l’importance de bien faire la distinction.
Derrière tout sentiment ressenti se cache un besoin insatisfait. Posez-vous réellement la question : pourquoi êtes-vous triste ou inquiet ? En mettant le doigt dessus, vous pourrez le partager à votre interlocuteur, vous permettant d’introduire sans scrupule une demande en lien avec ce besoin.
Dans le cas où c’est votre interlocuteur qui semble exprimer son propre sentiment, essayez d’identifier son besoin sous-jacent. N’hésitez pas à lui poser directement la question en suggérant une hypothèse. « Ressens-tu le besoin d’être plus écouté ? », « As-tu peur et souhaites-tu être rassuré sur ce point ? » Si vous visez juste, la personne en face n’aura plus aucun frein à échanger avec vous en toute transparence.
Enfin, terminez votre échange par une demande claire, concise et précise. Ne l’exprimez pas sous forme d’exigence, sans quoi votre interlocuteur risque de se braquer. Formulez-là dans un langage positif et, pour s’assurer qu’il n’y a pas d’incompréhension, demandez à votre interlocuteur de la reformuler si besoin.
Appliquer la CNV dans le cadre professionnel n’est pas naturel, loin de là. Nous ne sommes pas habitués à montrer ouvertement nos sentiments au travail, c’est même plutôt l’inverse. Nous devons faire bonne figure et montrer une image forte et solide. Malheureusement, en étouffant nos sentiments, nous ne sommes pas dans une relation authentique et ouverte avec nos collègues et nos supérieurs. Cela peut générer du mal-être, un sentiment de ne pas s’intégrer et mener au conflit, voire même au désengagement. Découvrons quelques situations dans lesquelles la communication non violente au travail peut s’avérer très bénéfique.
N’en avez-vous pas assez des entretiens annuels sans âme, où seuls les intérêts de l’entreprise sont abordés ? Dans les relations entre manager et équipe, la CNV peut rendre au supérieur son rôle humain et bienveillant. Ses subornés le verront alors comme une personne à l’écoute et de confiance qui peut faire porter leur voix plus haut dans la hiérarchie si besoin.
En remettant les émotions au cœur du dialogue, la CNV permet de comprendre ce qui se cache derrière certains échanges difficiles ou situations conflictuelles. Pourquoi ce collègue semble-t-il vous en vouloir ? Pourquoi s’est-il énervé à la pause café quand vous lui avez parlé de votre dernière réunion ? En interrogeant vos pairs sur leurs émotions et en mettant en avant leurs besoins, vous évitez l’effet cocotte-minute des sentiments non exprimés. C’est ce que Rosenberg appelle l’écoute empathique.
Pour des échanges encore plus apaisés, découvrez quelques conseils pour rendre vos réunions plus agréables.
Pour aller plus loin dans la résolution sereine des conflits, découvrez notre article sur la méthode DESC inspirée de la CNV.
Enfin, en pratiquant la CNV au travail, vous adopterez petit à petit l’habitude d’être à l’écoute de vos propres besoins. De cette façon, vous exprimerez plus facilement vos envies d’évolution professionnelle, vous permettant d’avoir une carrière plus épanouie et plus en accord avec vos attentes.
Pour mettre en pratique les principes de la CNV, gardez en tête d’éviter le « tu » ou « vous » qui peut sembler accusateur et mener à un échange stérile avec votre interlocuteur qui voudra se défendre. À la place, essayez toujours de parler de votre point de vue : « Je comprends ton inquiétude. Est-ce parce que tu craindrais que JE ne sois pas assez professionnel dans mes échanges avec le client ? »
Comme toute compétence à développer, appliquer la CNV naturellement demande de l’entraînement. Au début, il vous semblera impossible de mettre tous ces principes en pratique, en particulier sous le coup de l’émotion ou lorsque quelqu’un vous fait des reproches. Votre premier réflexe sera sûrement d’admettre votre faute ou de la rejeter sur votre interlocuteur.
Néanmoins, ne vous découragez pas et entraînez-vous à la CNV a posteriori, sur une feuille de papier. Votre manager vous a fait une remarque désagréable sur la qualité de votre travail et vous avez tenté de vous justifier sans en prendre la responsabilité ? Essayez de revivre cette conversation en imaginant ce que vous auriez pu lui répondre.
Quoi de mieux qu’un exemple de schéma OSBD pour se rendre compte ce que pourrait donner l’application de la CNV dans un cadre professionnel ?
Votre collègue a oublié d’envoyer l’invitation pour une réunion avec un client ce vendredi. Vous lui avez demandé une fois lundi, une fois mardi. Nous sommes mercredi et l’invitation n’est toujours pas partie. Comment réagissez-vous ? Vous allez le voir en lui disant : « C’est la dernière fois que je te le rappelle, pourrais-tu envoyer l’invitation pour la réunion de vendredi ? Tu es tellement tête en l’air ! » Non !
À la place, essayez plutôt : « Je n’ai toujours pas reçu l’invitation pour la réunion client de vendredi. » C’est une observation sans jugement. « J’ai peur que le client nous reproche de ne pas l’avoir prévenu à temps et que sa confiance envers nous s’amenuise. » C’est votre sentiment. « J’aurais besoin que l’invitation parte au moins 4 jours avant la réunion. » Vous exprimez votre besoin et votre demande découle ensuite naturellement : « Pourrais-tu envoyer l’invitation et faire en sorte que les prochaines partent plus tôt ? » Voilà une belle façon d’éviter de mettre tout le monde en colère !
Vous disposez maintenant de plusieurs pistes pour appliquer la communication non violente au travail. La prochaine fois qu’un de vos collègues ou votre supérieur vous aborde avec violence, vous saurez comment réagir ! Pensez-vous que la CNV peut vous aider à apaiser vos relations professionnelles ? L’avez-vous déjà appliquée ? Racontez-nous en commentaires.
La page demandée est introuvable. Essayez d'affiner votre recherche ou utilisez le panneau de navigation ci-dessus pour localiser l'article.
Pendant vos journées de travail peu palpitantes, vos pensées dérivent inlassablement vers la même thématique : votre passion ! Que vous soyez féru de guitare, de littérature anglaise ou de randonnée en montagne, votre hobby nourrit votre temps libre et vous ne pouvez vous empêcher de vous demander : faut-il vivre de sa passion ? Et si la réponse à cette question était « oui » ? Vous vous dites probablement que ce n’est pas possible, que c’est une douce utopie. Pourtant, en découvrant le parcours d’Antoine Martel qui a choisi de faire de sa passion son métier, vous changerez peut-être d’avis. De pharmacien à photographe professionnel, il ne lui a fallu qu’un petit déclic pour se lancer. Vous n’êtes peut-être également pas loin de vivre de votre passion. Découvrez son parcours et inspirez-vous pour provoquer votre propre passage à l’action !
Antoine a en apparence un parcours très classique : il a grandi en région parisienne, où il a fait ses études de pharmacie avant de commencer sa carrière. Pourtant, depuis son adolescence, il a toujours été passionné par la photographie. C’est au lycée qu’il découvre ce passe-temps créatif qui lui permet d’illustrer son quotidien et de s’évader.
Pendant ses études, il continue à exercer son hobby en se retrouvant en charge du club de photographie de sa faculté avec d’autres étudiants. La question de se réorienter l’effleure à ce moment-là. Mais, comme beaucoup, il opte pour la voie de la sécurité, poussé par ses parents à obtenir son diplôme dans un premier temps.
Il relègue ainsi la photographie au second plan, même si sa passion reste toujours présente dans sa vie. Devenu adulte, il continue à s’exercer et pratiquer son hobby sur son temps libre.
Il exerce ainsi en tant que pharmacien pendant un peu plus de 10 ans, d’abord en région parisienne puis du côté de Dijon dans les 2 dernières années. Antoine décrit sa mission comme « un travail super intéressant » et « au contact des patients » qui lui plaît. Il exerce 7 ans en pharmacie d’officine avant de sentir qu’il lui manque un projet personnel ou professionnel pour se sentir plus engagé. Il ressent à ce moment-là le « besoin de changer d’univers professionnel ».
Il entame alors une mobilité vers un domaine pharmaceutique différent du sien pour rejoindre le milieu hospitalier. Cette nouvelle mission lui donne un renouveau bienvenu « hyper euphorisant » et « grisant » selon ses mots. La fermeture de la clinique au bout de 2 ans et son déménagement à Dijon le forcent à changer d’emploi. Il trouve alors un CDD semblable à sa précédente mission dans le milieu hospitalier et effectue quelques remplacements en clinique.
En parallèle de sa vie de pharmacien, sur les recommandations de ses proches, il se retrouve missionné pour effectuer des travaux de photographie pour des professionnels dans la région de Dijon. Ses premières prestations ainsi que les conseils d’une de ses amies le mettent en confiance et lui font prendre conscience qu’il est temps de sauter le pas et de se lancer dans ce nouveau projet qui répond à son envie d’évoluer et d’avancer. Dans sa mission de photographe, Antoine se rend compte qu’il se sent épanoui et pleinement lui-même.
Ainsi, depuis 2017, Antoine Martel a choisi de faire de sa passion son métier. Il exerce en tant que photographe indépendant à Dijon pour les professionnels. Il propose des portraits, reportages, photographies culinaires et de produits pour les besoins de communication des entreprises, indépendants ou institutions.
Antoine le dit lui-même, il a eu besoin d’un déclic pour se lancer. Pour lui, c’est le soutien de son amie et la situation moins stable qu’il connaissait dans sa carrière de pharmacien qui l’ont poussé à se lancer. Mais sans ces circonstances favorables, aurait-il osé sauter le pas ?
Nous reléguons souvent nos passions au second, voire troisième plan de nos vies après la carrière, la famille, les tâches ménagères… Finalement, la plupart d’entre nous finissent même par les oublier. Pour ceux qui arrivent encore à se dégager un peu de temps pour nourrir leurs passions, provoquer le passage à l’action pour essayer d’en vivre n’est pas évident. Il faut le plus souvent un événement qui modifie radicalement le quotidien pour prendre le recul nécessaire. Mais vous avez pourtant en vous toutes les ressources pour provoquer vous-même ce déclic !
C’est ce dont se rend compte Antoine en 2020 lorsqu’il rencontre Sensy. Il prend alors conscience qu’un accompagnement de coaching personnalisé aurait pu lui faire trouver sa voie « beaucoup plus tôt et beaucoup plus facilement ». Antoine a saisi une opportunité qui s’est présentée, mais qui aurait pu ne pas arriver ou se faire davantage attendre. Si vous pensez à vous reconvertir, peut-être avez-vous besoin d’un coup de pouce ou d’un déclic pour sauter le pas et oser vous lancer ? Je vous aide à passer le premier pas : prendre conscience de vos peurs qui vous freinent encore aujourd’hui.
Malgré sa reconversion dans 2 domaines très différents, Antoine Martel est formel là-dessus : « quand on change d’orientation, […] on s’appuie sur ce qu’on sait, qu’on connaît ». Même si vous avez l’impression qu’en vous lançant dans votre passion, vous repartirez de zéro, c’est souvent une fausse idée. Nos expériences passées nous servent toujours. Par exemple, pour Antoine, son travail de pharmacien l’aide beaucoup dans les relations avec ses clients. Il a beaucoup appris sur le contact humain et s’en sert toujours tous les jours.
Nous parlons de votre passion, celle que vous chérissez depuis probablement de nombreuses années, voire même depuis votre enfance. Alors forcément, vous avez peur d’échouer, de ne pas être assez bon, de ne pas y arriver. C’est normal mais ce n’est pas une fatalité, vous pouvez changer votre point de vue là-dessus !
Essayez plutôt de voir ce lancement comme un nouveau souffle, une dimension supplémentaire à votre passion. En la professionnalisant, vous apprendrez de nouvelles compétences et même si vous ne continuez pas dans cette voie, vous aurez une nouvelle vision, un renouveau et plein d’enseignements à en tirer.
Dans toute reconversion, la peur de l’inconnu est souvent un frein très important. Votre situation actuelle peut sembler confortable parce qu’elle est connue. Elle ne vous fait pas trop sortir de votre zone de confort et c’est agréable. Par contre, niveau épanouissement, vous vous rendez compte avec un peu de recul que ce n’est pas la panacée…
Rassurez-vous, la peur de l’inconnu se travaille. Rencontrez des personnes qui se sont lancées dans un changement similaire au vôtre et discutez avec elles. Comment se sentent-elles ? Comment l’ont-elles vécu ? Tirez des enseignements des autres et osez grandir en explorant les environs de votre zone de confort. Peut-être pouvez-vous envisager de trouver un mentor pour vous accompagner dans cette phase de changement ?
Pour aller plus loin, découvrez comment vaincre votre peur de l’inconnu et combattre un autre blocage fréquent dans toute reconversion.
Comment vont réagir mes proches ? Que vont dire mes collègues quand je vais leur parler de ce virage professionnel à 180° ? Il est normal que vous ressentiez de l’inquiétude vis-à-vis de ces questions. Est-ce que mon entourage ne va pas me dire que je fais une bêtise, que mon nouveau métier est moins prestigieux, moins rémunérateur, moins reconnu que le précédent ? C’est vrai, il y aura toujours des sceptiques. Mais projetez-vous au moment où vous aurez atteint votre objectif. Pensez-vous vraiment qu’une personne ayant suivi son rêve de faire de sa passion son métier pourra être raillée de ses proches ? Si c’est le cas, ce sera probablement de la jalousie déguisée…
Alors, pensez-vous que vous puissiez vivre de votre passion, comme Antoine ? Faire de sa passion son métier est possible, en se donnant le moyens d’atteindre ses objectifs. Que vous manque-t-il pour vous lancer ?
Un mini-guide gratuit à télécharger et un programme en 4 étapes :
Pouvoir travailler d’où vous voulez, sur une plage, dans un chalet de montagne, sur une île tropicale, tout en gardant vos avantages de salarié, est-ce le rêve ? Avec la crise sanitaire de 2020, le 100 % télétravail est devenu la norme pour de nombreux travailleurs pendant quelques mois. Après avoir découvert cette organisation professionnelle, vous envisagez peut-être vous-même de travailler en remote pour de bon. Mais la vie des salariés à distance est-elle si rose ? Envisager un travail sans bureau fixe n’a-t-il pas des conséquences sur votre motivation, votre engagement vis-à-vis de votre employeur ? En retirant les pauses café, les moments d’échange informels, le travail en full remote n’enlève-t-il pas l’essence de l’entreprise : valeurs, cohésion d’équipe ? Décryptage d’un nouveau mode de travail en vogue.
En décembre 2020, 31 % des salariés pratiquent le travail à distance régulièrement. 86 % des télétravailleurs en sont satisfaits et souhaitent donc le poursuivre. Mais qu’en est-il des salariés en full remote, qui n’ont aucune attache géographique liée à leur métier ? Si l’organisation semble à première vue proche du télétravail occasionnel, les implications sont pourtant bien différentes. Cette nouvelle forme de travail présente néanmoins de nombreux avantages.
C’est là l’avantage principal du full remote, qui le différencie grandement du télétravail partiel. En éliminant la contrainte géographique, vous pouvez envisager de vivre là où vous le souhaitez. Votre seule exigence sera de disposer d’une bonne connexion Internet. Votre studio payé à prix d’or dans une grande ville pourrait bientôt n’être qu’un lointain souvenir. Une vue sur la mer, un chalet dans la montagne, une grande maison à la campagne, le full remote vous permet d’envisager toutes ces possibilités. Avec des logements potentiellement plus abordables et donc moins de frais, vous pourrez même de cette façon augmenter votre niveau de vie.
Pour ceux d’entre vous d’entre vous qui ont la bougeotte et que le décalage horaire n’effraie pas, vous pouvez même envisager de tenter l’expérience du nomadisme digital, et de changer de lieu de travail comme de chemise, tout en découvrant le monde !
Adieu les 2 heures perdues par jour dans le RER et le métro parisien ! Avec un travail à distance, vous réduisez votre temps de trajet à quelques secondes, plus précisément à la durée nécessaire pour parcourir la distance entre votre lit et votre bureau. Elle n’est pas belle la vie ? Vous pouvez passer ce temps à faire ce que vous aimez : un hobby, du sport, du temps en famille !
Attention toutefois à ne pas tomber dans l’extrême inverse ! Avec le bureau juste à côté, il peut être facile d’avoir le sentiment de ne jamais s’arrêter de travail et d’oublier de fixer de limites à ses horaires de travail. Si vous envisagez le travail en remote, n’oubliez pas de préserver votre bien-être !
Découvrez, dans un article dédié, comment trouver votre équilibre entre vie privée et vie professionnelle, même en télétravail.
Jeudi soir, 17h00, vous attrapez votre manteau et prenez la direction de la sortie du bureau, soulagé de voir la fin de journée arriver. C’était sans compter sur votre collègue, qui vous lance en affichant un sourire narquois : « Tu as posé ton après-midi ? » Vous soupirez et lui souriez nerveusement. Bien sûr, vous êtes conscient qu’il plaisante. Toutefois, vous ne pouvez vous empêcher de ressentir une pointe de culpabilité en franchissant les portes de l’open space… J’ai une bonne nouvelle pour vous ! Avec le 100 % télétravail, vous pouvez dire adieu à cette désagréable sensation et à la culture du présentéisme ! Vous disposerez de plus de liberté dans l’organisation de vos journées et ne devriez plus recevoir de remarques sur vos horaires, tant que vous faites bien votre travail.
La généralisation du télétravail signe également la fin du brouhaha incessant de l’open space. Chez vous, au calme, vous vous sentirez peut-être dans un environnement plus propice à la concentration. Vous pourrez ainsi retrouver un peu d’efficacité, surtout si vous êtes le genre à ne pas savoir dire non à une invitation en pause café !
Découvrez notre guide complet pour travailler votre concentration !
Tous les avantages listés précédemment vous font peut-être penser : « Travailler en remote semble vraiment sympa. » Toutefois, avant de commencer à chercher votre prochain employeur à distance, sachez que le 100 % télétravail ne vient pas sans certains challenges. Le cliché du salarié en maillot de bain, sur une plage, son ordinateur sur les genoux peut sembler alléchant mais la réalité s’avère assez différente.
Peut-être est-ce important pour vous de connaître les personnes avec qui vous travaillez ? Partager des moments de convivialité informels à la pause café ou à l’heure du déjeuner fait peut-être même partie de vos vecteurs d’épanouissement professionnel.
En étant en full remote, vous serez amené à ne rencontrer physiquement vos collègues qu’une poignée de fois dans l’année. Le reste du temps, vous devrez faire des efforts particulier pour garder le lien : organiser des pauses en visioconférence, des déjeuners virtuels ou encore des appels réguliers.
Si vous commencez une nouvelle mission en télétravail, vous pouvez ressentir également un manque d’intégration vis-à-vis de l’entreprise, sans quartier général et avec des supérieurs et collaborateurs plus virtuels que réels. N’oubliez pas de vous interroger avant de vous lancer : « est-ce un problème pour vous ? »
Si vous envisagez un passage en full remote, préparez-vous une longue liste de livres, podcasts, articles de blog et autres ressources sur la productivité, vous en aurez bien besoin !
Sans émulation collective, il peut parfois être difficile de rester concentré sans attraper son téléphone pour un petit moment ou sans s’évader dans ses pensées. Et les pas pressés de votre manager qui s’approche de votre bureau ne seront pas là pour vous sortir de votre rêverie éveillée.
À lire aussi : découvrez nos outils pour combattre la procrastination efficacement !
En télétravail occasionnel, cela ne pose en général pas ce problème. Toutefois, sans précaution particulière, le salarié en full remote peut se sentir démotivé, désengagé sur le long terme, voire même un seul et isolé.
Si vous sentez déjà que la solitude vous pèse en travaillant depuis chez vous une fois par semaine, peut-être réfléchissez un peu avant de vous lancer en full remote. Toutefois, sachez que ces fléaus ne sont pas des fatalités :
C’est un challenge pour tout le monde mais c’en est un d’autant plus grand si vous travaillez depuis chez vous toute l’année. Pour éviter la transformation en robot travailleur, ne travaillez pas en pyjama depuis votre lit, planifiez du temps pour vous aérer un peu tous les jours, maintenez une activité physique régulière et entretenez vos hobbys. C’est la clé pour profiter pleinement de votre nouvelle organisation en 100 % télétravail et ne pas tomber dans la routine bureau-canapé.
Vous êtes prêt à relever les challenges et travailler en remote ? Découvrez comment trouver l’entreprise qui vous embauchera à distance !
Eh oui, vous pouvez envisager des négociations avec vos supérieurs pour passer en travail distanciel. Sachez toutefois que votre employeur n’a aucune obligation d’accepter. Assurez-vous également que l’entreprise est prête à faire des efforts. Avoir des collaborateurs à distance suppose une organisation très transparente : vous devez avoir accès à toutes les informations sans venir au bureau. Un climat de confiance est également de rigueur : pas question que votre chef suive vos moindres mouvements !
Pensez-vous être aussi motivé que Barack Obama ou Lady Gaga pour aller travailler ?
Le job de vos rêves est là, sur cette plateforme de recherche d’emploi. Seul problème, il est à l’autre bout du pays, voire à l’autre bout du monde. Déraciner votre famille, vous éloigner de vos proches est impossible pour vous. Ne perdez pas complètement espoir ! Vous pouvez proposer à l’entreprise de travailler en remote. Dans ce cas-là, insistez sur les avantages pour votre futur employeur : il n’a pas à augmenter sa capacité de bureau, il aura accès à une personne qualifiée qu’il a peut-être du mal à recruter dans sa propre ville.
Toutefois, comme pour votre propre entreprise, assurez-vous que l’organisation est adaptée à ce mode de travail bien particulier. Ce sera un challenge supplémentaire pour vous, car vous devrez vous approprier la culture et les méthodes de travail d’une entreprise dans laquelle vous n’avez jamais mis les pieds. Pour faciliter votre prise de poste et votre intégration, vous pouvez proposer à votre employeur de passer votre premier mois sur place pour rencontrer tout le monde.
Certaines entreprises ont déjà sauté le pas et sont organisées avec du télétravail total pour tous ou une partie de leurs employés. C’est le cas par exemple de O’Clock, qui propose des formations de développeur web à distance. L’entreprise n’ayant pas de bureau, tous leurs formateurs et employés sont en full remote.
Pour trouver ces entreprises distribuées, des plateformes existent et ne proposent que des offres d’emploi en télétravail. Pour vous, c’est la garantie d’avoir un employeur habitué à recruter et faire travailler ses employés à distance.
Voici quelques plateformes de recherche d’emploi en remote :
Vous pouvez également rechercher des offres d’emploi 100 % télétravail sur les plateformes standards que vous utilisez déjà avec les mots-clés « télétravail » ou « remote ».
Alors, plutôt pour ou contre le travail en remote ? Pour Sensy, je compte développer l’entreprise avec une organisation hybride : une partie de salariés dans les bureaux à Dijon et une autre partie à distance, majoritairement en téléravail ! Si vous aspirez à plus de liberté, de flexibilité et que vous êtes prêt à relever les défis liés à cette organisation particulière, travailler en remote peut être la solution pour vous ! J’espère vous avoir donné quelques pistes pour trouver le futur métier de vos rêves en full remote !
La page demandée est introuvable. Essayez d'affiner votre recherche ou utilisez le panneau de navigation ci-dessus pour localiser l'article.
Vous avez reçu l’appel fatidique… Votre candidature n’est pas retenue pour cet emploi, celui que vous aviez vendu à vos proches comme le « job de vos rêves ». Comment allez-vous réagir ? Allez-vous vous laisser submerger par le sentiment de désespoir initial ? Ou allez-vous vous rebondir après cet échec professionnel et tirer des enseignements de cette expérience ? Que ce soit après un entretien raté, une promotion non obtenue ou une présentation qui n’a pas fait mouche, il est essentiel de se remettre de l’échec professionnel. Non seulement, vos prochaines tentatives non fructueuses seront plus faciles à vivre, mais surtout vous allez oser. Oui, rester dans sa zone de confort est agréable mais c’est en prenant le risque de tomber et en se relevant que vous allez grandir. L’échec et la réussite vont de pair ! Alors c’est parti, nous vous donnons 5 précieux conseils pour accepter l’échec professionnel et rebondir en toute sérénité !
Avant d’entrer dans le vif du sujet, comprenez-vous ce qui se cache derrière votre peur d’échouer ? Que redoutez-vous réellement : une perte d’argent, de temps, de statut social ? Peut-être un peu… Mais le plus souvent, ce qui vous empêche de prendre un risque et qui vous fait peur en cas d’échec, c’est le regard des autres. Vos proches, vos collègues, votre patron, toutes ces personnes qui pourront vous juger de ne pas avoir décroché ce job ou obtenu cette promotion peuvent vous rendre très (voire trop) prudent.
Pour relativiser, dites-vous qu’il y aura toujours quelqu’un qui pensera que vous avez échoué ! Vous décidez de poursuivre votre rêve de devenir indépendant et d’être votre propre patron ? Certains penseront que c’est un échec parce que vous avez quitté la stabilité et la paie garantie d’un emploi de salarié.
Plus vous douterez de vous et de vos capacités, plus vous accorderez de l’importance aux opinions des autres et plus vous aurez peur de l’échec. Vous risquez d’être d’autant plus hésitant à prendre des risques et à vivre vos rêves. Si vous sentez que vous avez besoin d’un peu de soutien de ce côté-là, pourquoi ne pas aller découvrir nos conseils pour retrouver un peu de confiance en vous ?
🤔 Est-ce que votre travail est fait pour vous ou est-ce le moment d’en changer ?
Déjà + de 20 000 personnes ont fait le test Sensy !
Pourquoi pas vous ?
Non, échouer n’est jamais agréable. Les jours qui vont suivre votre déconvenue ne seront pas vos meilleurs moments. Le conseil que nous pouvons vous donner pour bien les vivre malgré tout est de prendre soin de vous et de vous chouchouter. Accordez-vous des activités bien-être, faites-vous plaisir avec un repas réconfortant, un film drôle ou un bon livre.
Ensuite, réalisez que l’échec est nécessaire ! Oui, il est difficile de mettre son ego de côté et d’accepter d’avoir raté cette fois-ci. Mais la prochaine tentative sera peut-être plus fructueuse. Ou peut-être même celle d’après ? Dans tous les cas, ce n’est pas grave ! Échouer fait partie du processus de réussite. Vous n’y croyez toujours pas ?
Voici quelques anecdotes qui vous feront peut-être réfléchir et vous aideront à rebondir après un échec professionnel :
Si vous n’êtes toujours pas convaincu, demandez-vous pourquoi un recruteur pose souvent la question « parlez-moi d’un échec professionnel » lors d’un entretien d’embauche. Ne serait-ce pas pour savoir comment vous réagissez face à une déconvenue ? Avez-vous plus de chance d’être retenu pour le poste si vous lui répondez « je n’échoue jamais » ou si vous expliquez comment vous avez rebondi et fini par réussir après plusieurs échecs ?
Vous vous sentez déjà un peu mieux ? Alors, c’est le moment d’appliquer notre second conseil !
Quand votre moral commence à remonter, réfléchissez à ce qu’il s’est passé et surtout relativisez ! Est-ce vraiment si grave ? Non, vous n’avez pas ruiné votre carrière parce que vous avez eu un mauvais retour de votre client sur votre dernière livraison. Vous avez le droit de ne pas être parfait !
Si vous doutez de ce dernier point, découvrez pourquoi le perfectionnisme nuit à votre carrière.
À la place, n’avez-vous pas des idées, des ressources à mobiliser pour rebondir et aller de l’avant ? Ne ressortez-vous pas de cette déconvenue avec une envie de faire mieux que la fois précédente ?
Si vous avez la possibilité, essayez de demander pourquoi vous n’avez pas été retenu ou ce qui a poussé le client à ne pas travailler avec vous. Vous pourrez ainsi appliquer le prochain conseil plus sereinement et aurez toutes les clés pour accepter l’échec professionnel en toute sérénité !
Tel Sherlock Holmes, vous avez maintenant mené une enquête détaillée sur les causes de votre échec et comprenez ce qui s’est mal passé.
Il est maintenant temps d’agir ! Pour tous les facteurs qui dépendent de vous, essayez d’en tirer un apprentissage :
Chaque échec professionnel et une occasion d’apprendre quelque chose de nouveau. Que ce soit mieux vous connaître, découvrir une compétence à développer, vous aurez toujours une bonne leçon à en tirer pour en ressortir grandi et devenir une meilleure version de vous-même !
Démarrez votre introspection et retrouvez du sens et une vie pro qui pétille :
✔️ Combattez la résistance au changement
✔️ Définissez votre nouvelle orientation
✔️ Trouvez le métier qui vous convient
✔️ Passez à l’action dès que possible
Si vos parents vous avaient dit de ne pas remonter à vélo suite à votre première chute, pourriez-vous parcourir des kilomètres en petite reine, les cheveux au vent, sereinement ? Rien n’est moins sûr. Peut-être seriez-vous envahi par l’appréhension à chaque fois que votre pied toucherait la pédale ? Peut-être diriez-vous à tous que vous ne savez pas faire du vélo ? Pourtant vous êtes remonté et aujourd’hui, la peur de tomber n’est plus là ou est très infime, parce que vous n’avez pas abandonné et que vous avez essayé de nouveau !
Pour un échec professionnel, c’est pareil. Lorsque vous tombez, remontez en selle ! Apprenez la leçon mais n’abandonnez pas. Les prochaines fois, vous aurez de moins en moins peur. Encore mieux, vous apprendrez à vous réceptionner et vos prochaines chutes en seront d’autant moins douloureuses ! Cumuler les échecs n’est certes pas facile, mais c’est parfois nécessaire pour finir par atteindre ses objectifs.
Bilan de compétences réinventé, 100% en ligne et finançable par le CPF.
« À vaincre sans péril, on triomphe sans gloire. » Cette citation de Pierre Corneille devrait vous rassurer : vous serez encore plus heureux d’avoir réussi si vous avez échoué avant. Alors continuez à sortir de votre zone de confort et à essayer de nouvelles choses. C’est de cette façon que vous atteindrez vos ambitions et vivrez vos rêves !
Prenez des risques, comme Alexandra qui a osé dire au revoir à un salaire confortable pour suivre son ambition professionnelle !
Vous avez maintenant plusieurs clés pour accepter l’échec professionnel. Alors la prochaine fois qu’un obstacle surgira dans votre carrière, nous espérons que vous serez assez confiant pour le surmonter et recommencer plusieurs fois si nécessaire ! Comment vivez-vous l’échec habituellement ? Racontez-nous en commentaire.
Nous vous proposons un RDV gratuit de 30 min avec l’un de nos conseillers Sensy pour faire le point sur votre situation actuelle et comprendre les obstacles qui vous empêchent d’avancer.
Vous n’avez rien besoin de préparer.
C’est gratuit et sans engagement. 😎
Quelles sont les attentes et caractéristiques de la génération Z ? Découvrez-les dans cet article et soyez prêt à relever haut la main le défi du management de la nouvelle génération !
Envie d’apprendre à mieux gérer votre stress en travail ? Analysez d’abord ses causes avant de passer concrètement à l’action pour gagner en détente et en sérénité d’esprit. Nous vous donnons tous nos conseils dans cet article.
Passez votre année professionnelle au crible et tirez-en tous les enseignements pour préparer la suivante efficacement et sereinement. Du positif au négatif en passant par l’insolite, faites le bilan complet de votre année professionnelle avec ces 7 questions ciblées.
Avant une séance de travail, soignez votre environnement physique et mental ! Vous aurez d’autant plus de facilités à mobiliser toute votre attention sur une seule tâche. Plus vous vous entraînerez à ne vous focaliser que sur une seule action à la fois, plus vous développerez votre concentration, c’est mathématique !
Même si ce n’est pas toujours évident, en particulier en open space, s’installer dans un endroit silencieux pour travailler de manière concentrée peut grandement améliorer votre performance. Essayez au maximum de vous installer là où vous ne serez pas dérangé : chez vous en télétravail ou dans une salle de réunion réservée pour l’occasion. Si vous n’avez pas le choix d’être dans un environnement animé, investissez dans un casque réducteur de bruit. Vos collègues seront moins enclins à vous interrompre s’ils vous voient en plein travail avec le casque sur la tête.
Avant de vous retrousser les manches, vous pouvez être tenté de procrastiner. Aucun mal à vérifier rapidement votre réseau social préféré ou regarder une courte vidéo sur Youtube, n’est-ce pas ? Pourtant, il arrive que ces quelques minutes se transforment en 30 qui finissent par se rapprocher dangereusement de l’heure perdue.
Pour éviter ce genre d’écueil, il peut être judicieux de vous imaginer un rituel court pour signifier à votre cerveau : « Allez, au travail, c’est l’heure ». Se faire couler une tasse de café, s’installer à son bureau, faire quelques étirements et c’est parti ! Vous pouvez aussi faire quelques exercices de respiration, vous répéter une phrase motivante à voix haute ou dans votre tête. Les possibilités sont quasiment infinies ! Vous verrez rapidement que moins vous procrastinerez, moins vous aurez envie de le faire et plus vous augmenterez votre capacité de concentration.
Ah le smartphone à portée de main, comme c’est tentant de l’attraper pour y jeter un coup d’œil de temps en temps, en particulier quand vous bloquez sur un problème. Pourtant, cette petite habitude à l’apparence insignifiante peut grandement menacer votre concentration. Mettez votre téléphone en silencieux, voire en mode « ne pas déranger » pour que l’écran ne s’allume pas au moindre e-mail. Ne laissez les notifications que pour les appels.
Si ce n’est pas suffisant, le plus efficace reste de placer votre smartphone à une distance de vous supérieure à la longueur de votre bras. Si vous devez vous lever pour l’attraper, vous le ferez beaucoup moins souvent ! Enfin, si vous travaillez sur un ordinateur, enlevez les fenêtres de pop-ups d’emails et essayez de limiter le nombre d’onglets ouverts sur votre navigateur au strict minimum.
Pour améliorer son attention et sa concentration de manière efficace, tirez parti de vos atouts et connaissez-vos faiblesses. Il n’existe pas une unique formule magique pour tout le monde, c’est pour cela qu’il est essentiel de connaître son rythme de travail et d’en faire votre meilleur allié !
Êtes-vous plutôt du matin ou du soir ? Avez-vous une heure dans la journée durant laquelle vous êtes en général très productif ? Privilégiez ces moments pour vos tâches exigeantes. C’est une excellente façon de travailler sa concentration sans se décourager !
Si vous ne connaissez pas votre rythme personnel, la plupart d’entre nous sommes efficaces et alertes en début de matinée, quand nous sommes bien réveillés. Nous avons ensuite un creux à l’approche de la pause déjeuner et en début d’après-midi, avec normalement un nouveau pic d’énergie en fin de journée.
Si vous avez l’impression de ne pas répondre à ce schéma standard, découvrez votre chronotype dans notre article dédié et apprenez à être à l’écoute de votre rythme naturel.
Pour ne pas vous épuiser et éviter les rêveries éveillées, essayez de travailler par cycles courts : 50 minutes de concentration puis 10 minutes de pause ou 25 minutes de productivité puis 5 minutes de déconnexion en fonction de ce qui vous convient le mieux. C’est inspiré de la méthode Pomodoro. Essayez pour chaque sprint de vous fixer un micro-objectif précis. En faisant le bilan de vos objectifs atteints en fin de journée, vous pourrez en plus déterminer vos moments de concentration optimale.
Pour vos pauses, évitez les activités qui vous demandent de l’attention, comme la lecture. Prohibez également les distractions difficiles à arrêter, comme les réseaux sociaux ou la télévision. Préférez une petite marche sur votre lieu de travail, une pause café ou un 5 minutes au soleil pour faire le plein de vitamine D.
Cela peut paraître évident, mais c’est pourtant si important. Pour travailler sa concentration au quotidien, il est essentiel de prendre soin de son hygiène de vie. Dormez au moins 7 heures par nuit pour ne pas somnoler quand vous avez besoin de mobiliser toute votre attention. Ayez une alimentation variée et équilibrée, avec des aliments riches en Oméga 3 excellents pour le cerveau. Enfin, bloquez-vous des créneaux pour pratiquer une activité physique régulière et faire le plein d’énergie !
Des exercices et des réflexions pour mieux vous connaître et oser croire en votre job de rêve !
Souhaitez-vous aller encore plus loin dans le travail de votre concentration ? Découvrez quelques exercices faciles et rapides à appliquer pour un boost supplémentaire de productivité !
Malgré l’application de tous nos précédents conseils, vous trouvez que vous n’arrivez toujours pas à vous concentrer pendant des durées suffisantes à votre goût. Pas de panique, il est possible d’entraîner sa concentration pour l’augmenter petit à petit ! Lorsque vous travaillez de manière concentrée, chronométrez le temps pendant lequel vous arrivez à maintenir toute votre attention sur la tâche en cours. C’est votre temps initial de concentration !
Ensuite, essayez d’augmenter progressivement ce temps, par exemple de 5 minutes en 5 minutes toutes les 2 semaines. En quelques mois, vous devriez arriver à lire le dernier rapport de votre collègue d’une traite !
Voici 2 exercices à appliquer régulièrement, par exemple avant de vous mettre au travail. Ces petites habitudes devraient avoir un effet bénéfique sur votre productivité sur le long terme :
Vous savez maintenant comment travailler votre concentration de manière efficace et même amusante ! Dynamiser votre carrière, progresser dans votre vie professionnelle, vous verrez que vous ne regretterez pas d’avoir investi de l’énergie à développer votre attention !
Pour donner un coup de boost supplémentaire à votre vie professionnelle, continuez la lecture et :
Pensez-vous être aussi motivé que Barack Obama ou Lady Gaga pour aller travailler ?
Quelles sont les attentes et caractéristiques de la génération Z ? Découvrez-les dans cet article et soyez prêt à relever haut la main le défi du management de la nouvelle génération !
Envie d’apprendre à mieux gérer votre stress en travail ? Analysez d’abord ses causes avant de passer concrètement à l’action pour gagner en détente et en sérénité d’esprit. Nous vous donnons tous nos conseils dans cet article.
Passez votre année professionnelle au crible et tirez-en tous les enseignements pour préparer la suivante efficacement et sereinement. Du positif au négatif en passant par l’insolite, faites le bilan complet de votre année professionnelle avec ces 7 questions ciblées.